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A Téhéran


2015-12-12
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التصنيف : مقالات الشاعر الإماراتي محمد أحمد السويدي



A Téhéran j’avais l’occasion de visiter la bibliotheque nationale qui surplombe le quartier de Dawoudia au nord du centre commercial de la capitale. S...on directeur était dans le temps monsieur Bougnourdi. C’était en 2005. Durant cette visite, mon hôte me présenta la grande encyclopédie islamique. C’est un travail encyclopédique impressionnant, qui a été confié à environs 700 spécialistes et scientifiques de tous les domaines et spécialisations. L’édition persane avait atteint environs 11 volumes à cette époque.Je pris avec moi les trois volumes disponibles de la version arabe. L’encyclopédie se distinguait par son objectivité dans le traitement des grandes personnalités et des sujets de jurisprudence islamique suivant les différentes grandes sectes, et ils ont réussi à la libérer des influences des tendances de sectes et de groupements.
En revanche, j’avais avec moi une valise qui contenait des publications de la fondation culturelle. Devant une audience qui rassemblait de grandes personnalités de culture et de Moullas,je me mis à tirer soigneusement un livre après l’autre cherchant à l’introduire et à lui en faire cadeau. Il étaitreconnaissant, appréciateur et plein de gratitude jusqu’au moment où j’arrivai au livre de l’homme de recherches Hollandais et directeur des archives royales à cette époque monsieur Slot (La Hollande au golfe arabique), alors là l’expression du visage de mon hôte changea subitement et il dit d’une voie aigue : mais monsieur, c’est « le golfe persique »! Je fus surpris et ne sus que faire. Alors je lui tendis la main et me corrigeai en disant : oui mon ami, c’est le « golfe persique », mais rappelez vous que 300 millions d’arabes l’appellent « golfe arabe»!

Quand je me rendis au « centre du dialogue des cultures » pour rencontrer pour la première fois mon ami Dr. AtallahMouhajirani, dont j’aime beaucoup les propos, je lui racontai ce qui m’était arrivéa la bibliothèque nationale. Il dit alors en choisissant ses mot pour aménager les bouts de l’histoire : Nous, nous disons « golfe persique » , vous, vous insistez à dire « golfe arabe», mais en réalité ce n’est ni l’un ni l’autre : c’est « le golfe américain »!

Dans ce centre, je fus reçu par Mouhajirani avec un visage jovial et un sourire obligeant. Partout où je promenai mon regard dans les quatre coins du centre, je voyais l’endroit déborder des dames de Téhéran, ce qui me rendait perplexe et confus, car elles avaient des courbes splendides et un teint clair, tendant plutôt vers une grandeur de taille, comme si elles sortaient de la même moule et étaient faites d’après le même format. Il n’y avait parmi elles ni petite de taille ni celle qui souffre d’une difformité corporelle. Quand nous nous engagions dans notre discussion elles se rassemblèrent autours de nous comme une horde de gazelles, en s’appliquant à l’écriture du procès-verbal de notre entretien.

Ce jour-là Mouhajirani m’invita a manger dans un restaurant élégant où on nous ont servi du rôti iranien et du riz au safran. A la sortie nous vîmes des femmes qui avaient déposé le « shador » et le voile,et dont la blondeur des cheveux se dégageait ornée d’une mèche noire qui tombait en boucle, torturant et brisant le cœur des admirateurs. L’une d’elle s’écria en s’engageant à traverser vers l’autre côté de la chaussée :

welove youguys !

Après mon retours du ce voyage, je racontai l’histoire des beautés du centre du dialogue des cultures à un groupe d’amis parmi lesquels se trouvait mon ami Dr. NajmAbdulkarim, dont la mémoire photographique , comme on l’appelait, capta immédiatement lq totalité de la scène. Un an plus tard, peut être même un peu plus d’un an, il rencontra par hasard AtallaMuhajirani. Il se présenta en m’évoquant comme ami commun, et lui dit : Je suis Dr. NajmAbdulkarim, ami de Mohammed Al Sowaidi. Atalla en était content et lui souhaita la bienvenue. Une fois mis à l’aise, Atalla le surprena comme il le fait d’habitude en lui demandant: pouvez-vous me révéler le secret de ces beautés qui ont rempli aux combles le « centre du dialogue des cultures », est-ce que leur présence dans les circonstances et de la manière que Mohammed a décrite était intentionnée ? Atallah répondit : bien sûr que oui, les femmes sont en majorité dans le centre, et on ne saurait réduire la femme de Téhéranet toutes les femmes en Iran au « shador » et au voile, car nous avons des femmes dont la taille impressionnante les qualifie pour être des mannequins de premier ordre. Elles ne peuvent montrer leur beauté d’une manière inoubliable que dans le centre. Mohammed avait raison, car il y a dans le centre des beautés qui sont comme sculptées sur mesure pour y travailler. Nous avons voulu montrer au monde que les femmes de Téhéranméritent avant toutes autres d’emporter le titre de « reine de beauté ».

 

A Téhéran j’avais l’occasion de visiter la bibliotheque nationale qui surplombe le quartier de Dawoudia au nord du centre commercial de la capitale. S...on directeur était dans le temps monsieur Bougnourdi. C’était en 2005. Durant cette visite, mon hôte me présenta la grande encyclopédie islamique. C’est un travail encyclopédique impressionnant, qui a été confié à environs 700 spécialistes et scientifiques de tous les domaines et spécialisations. L’édition persane avait atteint environs 11 volumes à cette époque.Je pris avec moi les trois volumes disponibles de la version arabe. L’encyclopédie se distinguait par son objectivité dans le traitement des grandes personnalités et des sujets de jurisprudence islamique suivant les différentes grandes sectes, et ils ont réussi à la libérer des influences des tendances de sectes et de groupements. En revanche, j’avais avec moi une valise qui contenait des publications de la fondation culturelle. Devant une audience qui rassemblait de grandes personnalités de culture et de Moullas,je me mis à tirer soigneusement un livre après l’autre cherchant à l’introduire et à lui en faire cadeau. Il étaitreconnaissant, appréciateur et plein de gratitude jusqu’au moment où j’arrivai au livre de l’homme de recherches Hollandais et directeur des archives royales à cette époque monsieur Slot (La Hollande au golfe arabique), alors là l’expression du visage de mon hôte changea subitement et il dit d’une voie aigue : mais monsieur, c’est « le golfe persique »! Je fus surpris et ne sus que faire. Alors je lui tendis la main et me corrigeai en disant : oui mon ami, c’est le « golfe persique », mais rappelez vous que 300 millions d’arabes l’appellent « golfe arabe»! Quand je me rendis au « centre du dialogue des cultures » pour rencontrer pour la première fois mon ami Dr. AtallahMouhajirani, dont j’aime beaucoup les propos, je lui racontai ce qui m’était arrivéa la bibliothèque nationale. Il dit alors en choisissant ses mot pour aménager les bouts de l’histoire : Nous, nous disons « golfe persique » , vous, vous insistez à dire « golfe arabe», mais en réalité ce n’est ni l’un ni l’autre : c’est « le golfe américain »! Dans ce centre, je fus reçu par Mouhajirani avec un visage jovial et un sourire obligeant. Partout où je promenai mon regard dans les quatre coins du centre, je voyais l’endroit déborder des dames de Téhéran, ce qui me rendait perplexe et confus, car elles avaient des courbes splendides et un teint clair, tendant plutôt vers une grandeur de taille, comme si elles sortaient de la même moule et étaient faites d’après le même format. Il n’y avait parmi elles ni petite de taille ni celle qui souffre d’une difformité corporelle. Quand nous nous engagions dans notre discussion elles se rassemblèrent autours de nous comme une horde de gazelles, en s’appliquant à l’écriture du procès-verbal de notre entretien. Ce jour-là Mouhajirani m’invita a manger dans un restaurant élégant où on nous ont servi du rôti iranien et du riz au safran. A la sortie nous vîmes des femmes qui avaient déposé le « shador » et le voile,et dont la blondeur des cheveux se dégageait ornée d’une mèche noire qui tombait en boucle, torturant et brisant le cœur des admirateurs. L’une d’elle s’écria en s’engageant à traverser vers l’autre côté de la chaussée : welove youguys ! Après mon retours du ce voyage, je racontai l’histoire des beautés du centre du dialogue des cultures à un groupe d’amis parmi lesquels se trouvait mon ami Dr. NajmAbdulkarim, dont la mémoire photographique , comme on l’appelait, capta immédiatement lq totalité de la scène. Un an plus tard, peut être même un peu plus d’un an, il rencontra par hasard AtallaMuhajirani. Il se présenta en m’évoquant comme ami commun, et lui dit : Je suis Dr. NajmAbdulkarim, ami de Mohammed Al Sowaidi. Atalla en était content et lui souhaita la bienvenue. Une fois mis à l’aise, Atalla le surprena comme il le fait d’habitude en lui demandant: pouvez-vous me révéler le secret de ces beautés qui ont rempli aux combles le « centre du dialogue des cultures », est-ce que leur présence dans les circonstances et de la manière que Mohammed a décrite était intentionnée ? Atallah répondit : bien sûr que oui, les femmes sont en majorité dans le centre, et on ne saurait réduire la femme de Téhéranet toutes les femmes en Iran au « shador » et au voile, car nous avons des femmes dont la taille impressionnante les qualifie pour être des mannequins de premier ordre. Elles ne peuvent montrer leur beauté d’une manière inoubliable que dans le centre. Mohammed avait raison, car il y a dans le centre des beautés qui sont comme sculptées sur mesure pour y travailler. 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